Le Bilan de ce voyage est en cours de rédaction…
A plus tard pour la suite.
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A plus tard pour la suite.
Suite à la lecture du livre d’Hartmut Rosa (Accélération une critique sociale du temps. Edition La Découverte 2010), il y a quelques années, je me permet de vous faire part de quelques réflexions… cet article fort atypique par son contenu pourra surprendre certains car il sort du cadre purement promotionnel et informatif de ce site.
Pourtant, j’estime que le Vélo horizontal est une machine propice à la remise en question au sens ou l’ergonomie permet de rouler des heures sans douleur; les kilomètres parcourus seront prétexte à de multiples découvertes mais aussi un moyen de ne pas se laisser entraîner dans l’agitation perpétuelle de notre société de consommation.
Les avocats du progrès prétendaient que l’efficacité technique et économique conduirait à un mode de vie tranquille et harmonieux. “Nous n’avons pas le temps alors que nous en gagnons toujours plus”. Comment expliquer cet étrange paradoxe?
Il faut beaucoup de temps et d’énergie pour concevoir et fabriquer les machines censées nous en faire gagner. Ceci suggère que la division du travail ne fait pas gagner du temps à l’ensemble des citoyens; certains, plus égaux que d’autres, en tirent avantage!
Certaine fois le bilan social temporel pourrait être nul voir négatif. Yvan Illich à démontré dans les années 70 que si l’on considère le temps social général investit dans l’automobile, seules les petites voitures font gagner un peu de temps par rapport au vélo.
Nous sommes affamés de temps, sans être jamais rassasiés; ceci ne provoque pas la mort mais nous empêche bien souvent de commencer à vivre. Les tâches à réaliser se bousculent sur mon horizon d’attente et m’empêchent d’être gratifier pour lâcher prise.
Internet par la rapidité des échanges n’incite pas à la patience et le timing de chacun, qui entraîne les autres dans des délais de plus en plus court, conduit à une accélération constante du rythme de vie.
Pourtant en parallèle des phénomènes de désynchronisation se produisent un peu partout. S’éloigner de l’agitation de la médiasphère (cette dernière qui ne nous laisse même pas savourer nos désirs en prétendant y répondre immédiatement) par des pratiques comme le vélo couché. Se déplacer moins vite et prendre le temps d’apprivoiser ces merveilleuses machines aérodynamiques et confortables.
Devenir disponible à la beauté du monde sensible en prenant pleinement conscience de notre vitalité par une respiration retrouvée. Réinvestir notre propre centre de gravité (important sur un vélo couché!) et apprendre à apprécier ce qui naît au lieu de nous déprécier au contact de valeurs obsolètes.
La lutte finale n’aura pas lieu mais il faut sérieusement envisager une lutte initiale (Philippe NASSIF. La lutte initiale DENOËL 2011), cette dernière se fera en nous et par le partage avec d’autres.
Il y a plus de 5 ans maintenant, les essais étaient gratuits, ce qui me demandait énormément de temps. Le fait de rendre l’essai payant, bien en dessous du taux horaire légitime m’a permis de travailler de manière plus efficace. Mon activité se spécialisant de plus en plus et mon expérience augmentant, je souhaite pouvoir partager mes savoirs en priorité avec des clients motivés. La bonne gestion de mon temps est le seul moyen pour continuer à bien conseiller ceux qui font appel à mes services.
C’est pourquoi, je ne peux plus me permettre de passer entre 1 et 3 h sur un devis qui représente parfois une approche synthétique de mes choix et idées, sans un modeste engagement du client potentiel. L’indication des prix de vente reste gratuite ainsi que le devis comportant une seule ligne. La somme demandée est proportionnelle à la taille du devis :de 2 à 5 articles 10 €, de 6 à 10 articles 20 € et de 11 articles et plus 30 € (le chèque envoyé doit être libellé à l’ordre de Cycles Bentoline). Ces modestes sommes engagées seront remboursables durant six mois sous forme de remise pour tout achat ou location d’au moins 300 € TTC; Le cumul des achats étant possible.
Ce Tandem, en excellent état est mis en vente par Valéry CHAIX qui habite près de BRIANCON . Me contacter si vous êtes intéressé. Possibilité d’essai payant (en espèces) à 20 € pour 1 h, 40 € journée ou 60 € pour 2 jours, remboursables en cas d’achat.
Le prix demandé est de 1790 € TTC (payé à Cycles Bentoline 2890 € TTC, il est entièrement révisé et une modification du support de cintre arrière permet à ce dernier de pivoter en cas de chute . (la peinture est improvisée mais comporte 2 couches antirouilles grises sous le rouge) Il est possible de sabler le cadre et de le faire repeindre (Démontage, sablage, peinture au four et remontage ; 360 € ).
La transmission est optimisée avec des supports de tube de chaîne fabriqués par Bentoline, il est équipé de deux coussins Ventisit confort ainsi que de gardes boue et porte bagages + feu arrière + rétroviseur ainsi que des pédales automatiques.Freins à disque AVID BB7 Changement de vitesse Microshift en bout de guidon Dérailleur arrière SHIMANO DEORE Dér. avant SHIMANO R439
Le col du sabot est une merveille qui mérite le détour ; merci à Fabien de me l’avoir fait connaître! Un Ami véritable est une douce chose, je suis d’accord avec Lafontaine.
Ce col qui culmine à 2100 m est le plus haut col goudronné du département de l’Isère, comme il se termine en cul de sac, nous n’y rencontrerons que deux voitures. Fabien souhaite que nous redescendions de l’autre côté par le sentier pastoral ce qui se fera facilement et même le plus souvent sur le vélo ; comme quoi, il st possible de passer un peu partout, sur nos belles machines.
Le pourcentage moyen est gratiné mais le calme et le cadre de toute beauté peuvent donner des ailes.
Laurent et sa compagne ont loué le PINO une semaine pour partir en Corse.Sarah et FGuillaume ont acheté un PINO et sont partit en Islande avec Voici un lien vers leur Blog en construction sur lequel figurent déjà pas mal de photos.
Ils sont plein de vie et d’enthousiasme et leur sourire est contagieux, c’est ce qui est formidable.
Les photos montrent que le PINO voyage facilement aussi bien en avion qu’en bus.
Jean Ferraton vous propose de découvrir le vélo couché et vous accompagne pour une autre approche du paysage et des gens : un voyage différent!
Pour vendre gratuitement votre vélo d’occasion ou pour trouver des vélos de toute sorte y compris des vélos couchés et des trikes.
Le jour de l’Ardéchoise, le samedi 15 juin 2013 s’est déroulé le Brevet de Randonneur de 300 km dit “Montagne” compte tenu des 4900 m de dénivelée positive. Ce brevet organisé par L’Amicale des Diagonalistes de France de Grenoble (merci à Jean-Philippe pour son travail et son investissement très empathique lors du parcours qui devait être réalisé en moins de 20 h. Le nombre de participants fut de 9 avec 2 vélos couchés (1 Métaphysic version route et freins à disque et 1 Vendetta. Un abandon, un vélo couché dans “les premiers” et un autre à 30 minutes du temps limite suite à des arrêts conséquents.
Je serais donc bref: ce post pour tordre le coup à une idée reçue ; un vélo couché grimpe très bien en montagne si l’on se donne les moyens et le temps pour s’adapter de manière optimale. Un grand merci au Pilote du Metaphysic (je n’ai pas mémorisé son prénom, qu’il m’en excuse…) qui ne s’est pas du tout laisser impressionner par une crevaison dans la côte du Touvet, réparée avec brio et avec le dévouement de Jean-Philippe. Merci à toi d’avoir porté haut les couleurs de nos belles machines en bouclant le parcours en 14 h 30 environ, pauses comprises, ce qui fait une moyenne impressionnante (un peu plus de 20 km/h) compte tenu des difficultés Cols de La Madeleine, du Glandon et d’Ornon puis retour par La Mure et Saint-Georges de Commiers.
Notons que le Col de La madeleine étant officiellement fermé ce jour là suite à un glissement de terrain côté Maurienne (déviation par Montgellafrey) nous avons fait une ascension de rêve avec une 12 aine de voitures dans les deux sens.
Conclusion: osons la Montagne et ses merveilleux paysages! Le vélo horizontal ne craint pas le vertical; il faut s’élever au-dessus des idées reçues.
Profitant d’une journée de beau temps rares en ce mois de mai, j’ai voulu aller taquiner les pentes du Galibier sur mon Vendetta. Une grosse journée (de 6 h à 22 h 30) de 270 km et 3400 m de dénivelé positive. La chance à voulu qu’un caméraman de TF1; croise mon chemin: Lien vers le reportage sur le Giro sur les pentes du Galibier.